Jean Pierre Lahaye, Président du Club WALCO

En même temps, ils reconnaissent que le devoir de réserve de la part de certains gouvernements étrangers a "servi d'alibi à bien des silences coupables, le génocide de 1972 au Burundi en étant une illustration des plus criantes (…)." (Jean Pierre Lahaye, Président du Club WALCO). Non seulement ce génocide est absent de la mémoire collective des observateurs étrangers